Le Conseil municipal de la ville de Marseille a été avancé au 10 afin de mettre la municipalité « dans la légalité » selon les termes de Mme D.Casanova, (1) élue en charge des écoles, une régularisation vis à vis de la déclinaison d’activités péri scolaires du vendredi après-midi dans le cadre de l’application de la réforme des rythmes; la première s’est déroulée vendredi dernier dans 42 écoles pilotes sans la définition d’un certain cadre réglementaire qui sera voté le 10: rémunération des associations d’éducation populaire, conventions d’occupation des locaux selon un document standard et qui doit être signé par les conseils d’école.
L’élue de la mairie centrale insiste sur ce dernier point, jugé essentiel par tous les protagonistes, car objet de litige. Les enseignants veulent-ils ouvrir leurs classes aux activités péri scolaires en particulier les jours de temps inclément ? Les réponses divergent dans les nuances. Les enseignants parlent du respect de leur outil de travail, l’équipe municipale avance le titre de propriété sur ces locaux conféré par les lois de décentralisation. Ce sujet sera sans doute source de blocage localisé, il est à prévoir que certains conseils d’école refuseront cette convention, mettant le DASEN en face de ses responsabilités, puisque l’avis du conseil d’école est consultatif.
Cette convention est un des volets revendicatifs mis en...
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