mercredi 30 avril 2014

Rythmes scolaires: Jean-Claude Gaudin demande au ministre de revoir sa copie

Article publié dans La Marseillaise.

"Estimant ne pas avoir de réponse de l’État sur le financement de la réforme, le maire de Marseille refuse de l’appliquer.

Lancée par l’ex-ministre de l’Éducation, Vincent Peillon (PS) puis « assouplie » vendredi dernier par son successeur Benoît Hamon (PS), la réforme des rythmes scolaires reste inacceptable pour le maire de Marseille. Et il l’a fait savoir dans le vote sans appel par sa majorité d’un rapport demandant à l’État un moratoire sur leur mise en place pour la rentrée 2014 hier, lors du premier conseil municipal de sa quatrième mandature.
A grand renforts de techno, Force ouvrière avait déjà donné le ton de bon matin. Pas peu fier d’avoir rassemblé ..."

mardi 29 avril 2014

Marseille: La ville recale la réforme sur les rythmes scolaires

Un moratoire a été réclamé lundi matin en conseil municipal...

Le conseil municipal de Marseille a demandé lundi au gouvernement un moratoire sur la réforme des rythmes scolaires qui doit être appliquée à la rentrée 2014. La réforme Peillon propose de passer à la semaine de quatre jours et demi au lieu de quatre afin d'alléger les journées des écoliers et leur permettre de pratiquer des activités culturelles et sportives.
«Tant que nous n'avons pas plus d'éléments sur comment assurer la sécurité des enfants, comment accéder aux locaux, car les salles de classes sont fermées, et comment la financer, nous ne voudrons pas de cette réforme, indique Jean-Claude Gaudin (UMP), le maire. C'est une faute politique du gouvernement d'avoir voulu passer en force.»
«Si la réforme des rythmes scolaires était appliquée, elle...

Marseille enterre la réforme des rythmes scolaires

Hier, le conseil municipal a ajourné la réforme Peillon censée s'appliquer dès septembre.

La réforme des rythmes scolaires ne s'appliquera pas à Marseille à la rentrée prochaine. Ainsi en a décidé hier matin le conseil municipal. Et aucun élu, y compris sur les bancs de la gauche, n'a voté contre cette décision.
Ce fut le principal événement de ce premier conseil véritablement délibératif de la 4e mandature Gaudin. Et c'est une décision choc. Car si une cinquantaine de maires appellent à boycotter la réforme Peillon, Marseille devient la première grande ville qui refuse de l'appliquer. Et ce, alors même que Jean-Claude Gaudin déclarait avant les municipales qu'en bon républicain, il se plierait à cette réforme si elle lui était imposée.
Recommandée par les spécialistes de l'enfance, la réforme Peillon consiste, pour rappel, à alléger les journées des écoliers en les faisant travailler 4 jours et demi par semaine (au lieu de 4), en dégageant des temps pour des activités culturelles et sportives.
Mais l'équipe municipale a fait ses comptes : A Marseille, ce chantier concerne 445 écoles, et 73 000 enfants de primaire et de maternelle. Refusant de "livrer des enfants à n'importe qui", l'adjointe à l'éducation Danielle Casanova, a calculé que...
La suite de l'article sur La Provence : 

FO manifeste contre les rythmes scolaires à l’entrée du conseil municipal de Marseille

Le décret relatif à la modification des rythmes scolaires était à l’ordre du jour de la séance de ce 28 avril, à cette occasion le syndicat FO a décidé de manifester à l’entrée du Conseil pour affirmer : « Le seul bon assouplissement c’est la suspension immédiate de la mise en œuvre du décret Peillon sur les rythmes scolaires  ». Pour le syndicat « cette réforme qui prétend s’attaquer à la fatigue des enfants ne répond en rien à ce qui fatigue réellement les élèves : des classes surchargées, des élèves handicapés ou en grande difficulté intégrés par...

Suite de l'article sur Destimed : http://destimed.fr/FO-manifeste-contre-les-rythmes

Rythmes scolaires : des maires s’inquiètent du «flou artistique»

Un pas en avant, deux pas en arrière : la valse de la réforme des rythmes scolaires agace nombre de maires de petites communes qui ont mis en place la loi Peillon dès la rentrée 2013. Vendredi 25 avril, Benoît Hamon, nouveau ministre de l'éducation nationale, a annoncé la possibilité d'aménager les règles de l'organisation des temps périscolaires ainsi que celle d'alléger les semaines de travail en raccourcissant les temps de vacances.

« Nous avons décidé d'assouplir le cadre réglementaire pour qu'il s'adapte aux expérimentations du terrain », a déclaré le ministre. « Depuis deux ans, c'est le grand flou artistique et avec les nouvelles annonces du gouvernement, cela continue », répond Christian Pennanech, maire divers droite de Bénodet (Finistère).
Bon élève de la réforme Peillon, l'élu breton est quelque peu exaspéré : alors que la plupart des communes voisines temporisaient et laissaient la mise en place de la réforme aux gagnants des élections municipales de 2014, « nous avons suivi à la lettre les recommandations de la précédente équipe gouvernementale. Résultat, selon les enseignants, les enfants sont fatigués en fin de journée et surtout le vendredi matin, où ils ne sont plus en mesure de suivre l'apprentissage des fondamentaux, ce qui était pourtant l'un des objectifs de cette réforme ! »

« L'ÉTAT DOIT ASSUMER CETTE RÉFORME »

A Bénodet, après huit mois .....


Marseille : Gaudin met le conseil sur un faux rythme scolaire

Outre le premier budget de l'ère Gaudin IV, le conseil municipal examinait ce lundi la demande de moratoire dans la mise en oeuvre de la réforme des rythmes scolaires. L'occasion d'un débat clivant en forme de trompe-l'oeil. Ledit moratoire n'a aucune chance d'être accepté.

Du rythme ! Dès l'entrée de la salle du conseil municipal, le ton était donné. Le tambour de Force ouvrière qui accompagnait la manifestation des personnels des écoles "pendant les vacances" donnait le tempo politique de ce nouveau conseil municipal. Ce n'est pas le débat autour du budget primitif de la Ville qui allait enflammer les débats mais bien la mise en oeuvre du décret réformant les rythmes scolaires, successivement porté par Vincent Peillon et Benoît Hamon, ministres de l'Education. En effet, le maire de Marseille a fait voter par son conseil la demande à l'Etat d'un moratoire pour la mise en oeuvre de la réforme des rythmes scolaires. 
Un moratoire qui n'a que peu de chances d'aboutir. Joint par nos soins, le ministère de l'Education le confirme : "La loi s'applique à toutes les communes dès la rentrée 2014. Le décret pris par le ministre est très clair : la loi permet des dérogations et donne un mois pour s'adapter aux réalités locales. C'est valable pour les 6% des communes qui ont des difficultés d'organisation parfois très spécifiques. Par exemple....

LES GILETS JAUNES en Vidéos !


NOS ACTIONS EN IMAGES



- LES GILETS JAUNES
https://www.youtube.com/watch?v=L5a-hINMrhc&feature=youtu.be

- BANDE ANNONCE manifestation MARSEILLE 16 mars 2014
https://www.youtube.com/watch?v=gHTFSjNNzJ8

- MANIFESTATION MARSEILLE 16 mars 2014
https://www.youtube.com/watch?v=m-QYNMVJ7LU

- Conseil Municipal - Rognac - 24 avril 2014 (report)
http://www.dailymotion.com/video/x1rnq11_intervention-gilets-jaunes-au-cm_news?start=3

- BANDE ANNONCE : 17 mai @ MARSEILLE !
https://www.youtube.com/watch?v=443_41rqtik&feature=youtu.be 

Rythmes scolaires: Marseille réclame un moratoire

La Ville s'inquiète du coût de la réforme...

Le conseil municipal de Marseille a demandé lundi au gouvernement un moratoire sur la réforme des rythmes scolaires qui doit être appliquée à la rentrée 2014. La Ville s'inquiète du «poids qu'elle fait peser sur les finances».
Roland Blum, adjoint au maire chargé des Finances, a chiffré le coût de la réforme à «25 millions d'euros», somme nécessaire pour recruter des animateurs dans les 445 écoles communales, renforcer le personnel municipal et organiser les activités.

Les assouplissements salués

«L'erreur» a été de «prendre une telle décision, qui concerne les 36.000 villes de France, sans vouloir passer par le Parlement de la République (...) C'est une faute politique que d'avoir voulu passer en force», a déclaré le sénateur-maire (UMP) Jean-Claude Gaudin, qui n'a jamais caché son hostilité vis-à-vis de cette réforme.
Si l'élu a salué les assouplissements proposés par le nouveau ministre de l'Education nationale Benoît Hamon, avec la possibilité de rassembler les activités périscolaires dans une seule demi-journée, il a estimé que ces «quelques efforts» étaient «insuffisants».
«Quand l'Etat impose aux communes...

lundi 28 avril 2014

La Ville de Marseille refuse d'appliquer la réforme des rythmes scolaires

La réforme des rythmes scolaires ne s’appliquera pas à Marseille à la rentrée prochaine. Ainsi en a décidé ce matin le conseil municipal.

La réforme des rythmes scolaires ne s’appliquera pas à Marseille à la rentrée prochaine. Ainsi en a décidé ce matin le conseil municipal. Et aucun élu, y compris sur les bancs de la gauche n’a voté contre cette décision, le PS ayant refusé de participer au vote.
Ce lundi, ce fut le principal événement de ce premier conseil véritablement délibératif de la 4e mandature Gaudin, où les nouveaux élus ont pris péniblement leurs marques dans le protocole, tandis que beaucoup d’anciens, et non des moindres manquaient à l’appel : à gauche, Patrick Mennucci, Samia Ghali, Christophe Masse et à droite, le premier adjoint Dominique Tian ou le sénateur-maire Bruno Gilles.
Ajourner la réforme Peillon : une décision choc, non seulement parce que si une cinquantaine de maires appellent à boycotter ce texte, Marseille devient la première grande ville à refuser de l’appliquer.
Les élus marseillais ont donc voté un moratoire sur ces rythmes scolaires. Une nécessité pour le maire UMP de la Ville, Jean-Claude Gaudin : "Tant que nous ne savons pas à qui nous donnerons nos enfants, ni comment nous allons payer....

MARSEILLE refuse officiellement d'appliquer la réforme des rythmes scolaires

Lundi 28 avril

Conseil municipal de Marseille.

ON VA Y ARRIVER LOULOU !
La réforme des rythmes scolaires ne s’appliquera pas à Marseille à la rentrée prochaine. Ainsi en a décidé ce matin le conseil municipal. Et aucun élu, y compris sur les bancs de la gauche n’a voté contre cette décision, le PS ayant refusé de participer au vote.

Roland Blum, adjoint au maire chargé des Finances a surenchéri : "Si la réforme des rythmes scolaires était appliquée, elle coûterait 20 à 25 millions d'euros". Une somme justifiée par le recrutement d'animateurs, le renforcement du personnel des écoles et la mise en place de nouvelles activités pour les élèves entre 15h45 et 16h30.